Trudeau a qualifié ce qui s'est passé de "épouvantable", insistant sur l'intolérabilité des actes d'antisémitisme et d'intimidation. "Les émeutiers doivent être tenus responsables de leurs actes," a-t-il souligné, engageant la GRC pour collaborer avec les autorités locales.
De son côté, Legault a exprimé une position ferme, dénonçant les "scènes violentes et haineuses" ciblant la communauté juive. Il a souligné que "brûler des voitures et saccager des vitres, ce n’est pas passer un message, c’est causer le chaos," réitérant que de tels actes n'ont pas leur place dans une société pacifique comme celle du Québec.
La manifestation, commencée pacifiquement, a rapidement dégénéré en actes de vandalisme et de violence, avec des véhicules incendiés et des affrontements avec la police. Les manifestations se sont transformées en émeutes, forçant l'intervention des forces de l'ordre pour disperser les foules.
La présence de la délégation de l'OTAN à Montréal ajoute une dimension internationale à cet incident, mettant en lumière la nécessité de maintenir l'ordre public lors d'événements de grande envergure. Les déclarations de Trudeau et Legault rappellent l'importance de la liberté d'expression mais condamnent fermement toute forme de violence ou de haine qui pourrait émaner de tels rassemblements.
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